La veille de sa mort
La maladie a dévoré ses anticorps
Les soins ont détruit son pauvre corps
J’étais la voir, la veille de sa mort
Je sentais son cœur qui battait fort
Elle me parlait sans se faire entendre
Dans sa voix d’adieu amère et tendre
!Elle me disait : «l’autre demeure m’attend
« .Je t’y attendrai même pour très longtemps