« La chambrière»
Au fond de son lit morne et sombre
Elle chante, cachée dans ses ombres
Se plaignant de sa vie amère de chambrière
Son œil épouse chaque étincelle de lumière

Elle craint la crainte et l’écrasante routine
Qu’elle avoue trouver comme cures anodines
Détestant ses lamentations de vraie chambrière
Elle chasse les poèmes des vents et des rivières
Driss EL OUSSAA- 14/10/2
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