أسماء حرمة الله
31-10-2005, 06:13 AM
Mémoires d’une passante
par: Asmâe Hourmatallah
La fille avait un étrange besoin de visiter le refuge de sa belle maman, elle était curieuse, voire, hantée par une peur indéchiffrable, mais elle était filée d' une nostalgie verdoyante; même les colombes parsemaient à son chemin ce jour-là, des bourgeons et des perles d’aurore, poussaient son coeur à se cacher des yeux d’autrui, afin qu’elle puisse s’agenouiller, toute seule, devant son tableau naturel préféré: la mer, qu’elle puisse chuchoter la coquille comme elle faisait toujours, qu’elle puisse semer ses voeux au coeur de cette dernière pour les offrir aux vagues exténuées: aux ailes de “la mer”:… L’oracle des voeux…
Elle savait que la vie sans voeux ne vaut rien, et que “la douleur qui déchire l’âme, construit l’homme", et même le fruitier de la douleur est toujours ombreux, par les leçons, par la nouvelle évaluation des personnes et des choses, par l’espoir qui entrave le cortège du désespoir, par la foi et par l’amour de Dieu.…
Les embarras, ne sont-ils pas vraiment un rite exemplaire qui démasque les personnes? Qui démasque ceux qui aiment s’appeler amis, les vrais amis, les vraies personnes, les bonnes personnes? Les épreuves divines ne sont-elles pas un miroir de la bonté, un miroir des coeurs et des esprits?
La nuit venait, vêtue d’un éclat effervescent!! La fille attendait sa belle maman, le sourire sur les lèvres, l’espoir, sur les mains, en train de dessiner une voie filée de velours et d’amour…Elle attendait, attendait……! La lune, assise, sur son cahier de mémoires, pansait la chambre par la lueur des fées….les heures s’écoulaient lentement, lentement comme si elles comptaient les étoiles du ciel, mais la belle maman était toujours absente…!!!
Avant d' adresser la parole à l’aube, la fille s’est résignée à un beau rêve où elle rencontrait sa belle maman…Les gouttes azurées aux yeux, la froideur entourait le lieu, le frisson cernait les mains et les traits; Enfin la douleur pluviale s’épanouissait et les coeurs assoiffés s’envolaient ensemble vers le nid des étoiles….
par: Asmâe Hourmatallah
La fille avait un étrange besoin de visiter le refuge de sa belle maman, elle était curieuse, voire, hantée par une peur indéchiffrable, mais elle était filée d' une nostalgie verdoyante; même les colombes parsemaient à son chemin ce jour-là, des bourgeons et des perles d’aurore, poussaient son coeur à se cacher des yeux d’autrui, afin qu’elle puisse s’agenouiller, toute seule, devant son tableau naturel préféré: la mer, qu’elle puisse chuchoter la coquille comme elle faisait toujours, qu’elle puisse semer ses voeux au coeur de cette dernière pour les offrir aux vagues exténuées: aux ailes de “la mer”:… L’oracle des voeux…
Elle savait que la vie sans voeux ne vaut rien, et que “la douleur qui déchire l’âme, construit l’homme", et même le fruitier de la douleur est toujours ombreux, par les leçons, par la nouvelle évaluation des personnes et des choses, par l’espoir qui entrave le cortège du désespoir, par la foi et par l’amour de Dieu.…
Les embarras, ne sont-ils pas vraiment un rite exemplaire qui démasque les personnes? Qui démasque ceux qui aiment s’appeler amis, les vrais amis, les vraies personnes, les bonnes personnes? Les épreuves divines ne sont-elles pas un miroir de la bonté, un miroir des coeurs et des esprits?
La nuit venait, vêtue d’un éclat effervescent!! La fille attendait sa belle maman, le sourire sur les lèvres, l’espoir, sur les mains, en train de dessiner une voie filée de velours et d’amour…Elle attendait, attendait……! La lune, assise, sur son cahier de mémoires, pansait la chambre par la lueur des fées….les heures s’écoulaient lentement, lentement comme si elles comptaient les étoiles du ciel, mais la belle maman était toujours absente…!!!
Avant d' adresser la parole à l’aube, la fille s’est résignée à un beau rêve où elle rencontrait sa belle maman…Les gouttes azurées aux yeux, la froideur entourait le lieu, le frisson cernait les mains et les traits; Enfin la douleur pluviale s’épanouissait et les coeurs assoiffés s’envolaient ensemble vers le nid des étoiles….